Un livre vient de sortir dénoncant les retraites au Sénat.
(Info recueillie grâce à la CGT KNORR )
Source :
Voici l'extrait de l'émission de RMC Info présentant ce livre...
Un livre vient de sortir dénoncant les retraites au Sénat.
(Info recueillie grâce à la CGT KNORR )
Source :
Voici l'extrait de l'émission de RMC Info présentant ce livre...
Encore des preuves qu' "économie" ne veut pas dire "social" ou "sain". Pour gagner de l'argent, les industriels n'hésitent pas à nous empoisonner. Lorsqu'ils sont au courant des risques de nocivité de leurs produits, c'est la sourde oreille. Ils temporisent en s'appuyant sur des amis "experts".
70% des plastiques ne sont pas recyclés ! Trop chers ! Peut être en 2014 ... En attendant, la mer est pollué et toute la chaîne alimentaire trinquent !
Et qui est au bout de cette chaine ? !
l'Honnête (h)Omme qui Mange la Merde des Economistes industriels voyous.
LA SANTE N'A PAS DE PRIX !
Si nous boycottons les produits dangereux, les industriels seront obligés de revoir la fabrication de leurs articles mortels.
Le Bisphénol A est présent partout insidieusement. Il se transmet physiquement pendant plusieurs générations !!!
Cette émission vient appuyer les articles précedemment édités sur ce blog.
Des extraits de l'émission seront ultérieurement présentés.
Source : La République du Centre du 7 dec 2010.
Travailler plus, pour gagner plus, pour donner plus aux actionnaires, pour licencier plus !!!
NDLR : Cette logique est libérale. Alors ami(e)s salariées et salariés, ne l'oubliez-pas pour les prochaines élections.
Le syndicat est là pour défendre les droits des salariés, pas pour faire de la politique. Dans ce cas, il faut s'inscrire dans un parti politique.
Mais la politique peut aller à l'encontre des droits des salariés. Alors autant bien choisir nos futurs représentants.
On parle beaucoup de DSK en ce moment pour contrer SARKOZY. Mais DSK est un libéral qui est au FMI. Le FMI est une organisation économique mondiale. Le mot "économie" ne veut pas dire "social".
Et DSK a bien précisé qu'il ne toucherait pas aux réformes des retraites !
Alors.... mémoire et réflexion...
A l'appel des syndicats CGT, SUD RAIL, CFDT et FO, des cheminotes et cheminots ont envahi le CER pour interpeller le Directeur de région sur les emplois , les salaires, les restructurations, les conditions de travail, l'étalement du paiement des jours de grèves, les procédures disciplinaires envers certains grévistes, la fusion des ECT, les logements, le décès de notre collègue...
Voici des vidéos prises lors de l'événement :
Fédérations Syndicales des cheminots
CGT – UNSA – SUD Rail – CFDT
Paris, le 20 décembre 2010
Monsieur Xavier BERTRAND
Ministre du Travail, de l’Emploi et de la Santé
127, rue de Grenelle 75007 PARIS 07 SP
Monsieur le Ministre,
Le 3 décembre 2010, les Fédérations Syndicales des cheminots CGT – UNSA – SUD Rail – CFDT se sont adressées au Premier Ministre pour être reçues en audience.
Cette lettre unitaire signifiait l’opposition des cheminots à la réforme des retraites démontrée
par leur forte implication dans le mouvement social et au passage en force du gouvernement
pour soumettre un décret retraite pendant les fêtes de fin d’année afin de modifier les
dispositions du régime spécial SNCF.
Ce n’est que le 13 décembre que les Fédérations Syndicales ont reçu la réponse du Premier
Ministre en même temps que les administrateurs de la Caisse de Prévoyance et de Retraite du Personnel SNCF recevaient le projet de décret.
Cette mise devant le fait accompli est pour le moins irrespectueuse et s’apparente à un passage en force avec une présentation au CA de la CPRP le 15 décembre.
Cette stratégie, si elle persistait, ne changerait pas le caractère injuste et inefficace de la loi et
des futurs décrets justement rejetés par les cheminots comme par les autres salariés.
Les Fédérations Syndicales des cheminots CGT – UNSA – SUD Rail – CFDT tiennent à vous
rappeler que le Gouvernement s’était engagé à des négociations sur les décrets concernant les régimes spéciaux au cours du premier semestre 2011.
De plus les mesures prévues par la loi impactent les régimes spéciaux en 2017 et que
l’application de la loi entre en vigueur le 1 er juillet 2011.
Pourquoi cette hâte ?
Monsieur le Ministre, dans sa lettre, M. FILLON, Premier Ministre, nous informe qu’il vous a
demandé de vous tenir à notre disposition en lien avec la Direction de la SNCF.
C’est en ce sens que les Fédérations Syndicales de cheminots CGT – UNSA – SUD Rail – CFDT vous sollicitent pour être reçues en audience.
Elles réaffirment leur volonté qu’un cycle de négociations tripartites (Etat, SNCF, Organisations Syndicales représentatives) s’engage avant toute promulgation de décret.
De nombreux sujets pourraient trouver place dans une négociation : la situation des ex ‐apprentis et élèves de la SNCF (obtenue sous votre précédente mandature mais toujours pas appliquée), le minimum de pension de réversion, les droits pour les cheminots liés par un PACS, la reconnaissance de la pénibilité, les poly‐pensionnés …
Pensant que vous prendrez la mesure des enjeux et de la sensibilité sociale relative au régime
spécial des cheminots, dans l’attente de vous rencontrer, nous vous prions d’agréer, Monsieur le Ministre, l’expression de notre considération.
CGT
G. GARREL |
UNSA
M. BAUCHER |
SUD Rail
JM. FONTAINE |
CFDT
A. MORVAN |
Vue de l'usine de Gilly-sur-Isère, fermée en octobre 2001.
© AFP/JEAN-PIERRE CLATOT
L’affaire avait débuté en octobre 2001. L’incinérateur de déchets de Gilly-sur-Isère fait l’objet d’une fermeture administrative. En cause : des taux anormalement élevés de dioxine, polluant cancérogène, dépassant parfois jusqu’à 750 fois la norme maximale autorisée.
Par mesure préventive, près de 7.000 bêtes, essentiellement des vaches, sont abattues. Plus de deux millions de litres de lait et 24 tonnes de produits laitiers sont détruits par crainte d’une contamination humaine. Cette pollution à la dioxine est considérée comme l’une des plus graves en Europe depuis la catastrophe de l’usine Seveso en Italie en 1976, qui avait contaminé 193 personnes.
200 riverains portent plainte
Les riverains de Gilly-sur-Isère en sont certains : la dioxine a provoqué une augmentation des cancers. En mars 2002, 200 d’entre eux portent plainte. Une information judiciaire pour "homicide involontaire et mise en danger de la vie d’autrui" avait été ouverte.
Pendant cinq ans, la juge Hélène Lastera mène l’instruction. Elle entend comme témoins trois anciens ministres de l’Environnement. Corinne Lepage et Dominique Voynet expliquent ainsi avoir à l’époque mis en garde les préfets sur la nécessité de respecter les normes européennes d’émission de dioxine. Deux préfets sont mis en examen, mais les procédures sont ensuite annulées faute de charges suffisantes.
Pas d’augmentation significative des cancers
Ce sont ensuite les expertises qui dégonflent l’affaire : aucun lien de causalité certain n’a pu être démontré entre la pollution et les cancers. Une autre étude conclut à l’absence d’augmentation significative de cancers.
Le procès organisé aujourd’hui et demain semble donc bien modeste au regard du retentissement que l’affaire a eu pendant des années : seul l’exploitant de l’incinérateur - une filiale de Suez-Environnement - sera finalement jugé pour non-respect des normes environnementales, au côté d’un ex-directeur.
Les riverains ont été déboutés de leur constitution de parties civiles. Seules six associations et syndicat les représenteront à l’audience. "Cette affaire, c’est le pot de terre contre le pot de fer" déplore Claire Breche, riveraine et victime d’un cancer du sein en 1996. "Je n’attends rien du procès".
... Mais MONSANTO fait tout pour démontrer le contraire.
En 2008, Nicolas Sarkozy promettait que la culture des OGM en France resterait interdite. La recherche, l’importation, oui, la culture, hors de question !
Or, quelques années plus tard, le 2 mars 2010, la Commission européenne autorisait les cultures des pommes de terre transgéniques Amflora en Europe.
Mais quelles sont les conséquences des OGM sur le corps humain ? Pourquoi les chercheurs qui émettent des doutes sur les résultats des tests OGM effectués par Monsanto sur des rats sont-ils dénigrés ?
Mardi 23 novembre, deux scientifiques, Gilles-Eric Séralini et Marc Fellous, s’affrontaient à la barre du tribunal correctionnel de Paris.
ndlr : MONSANTO, multinationale inhumaine dont l'intérêt principale est l'argent, fera l'objet d'un dossier spécial de notre part dans les prochains jours. Ce dossier sera réalisé en plusieurs parties.